Spider-Man Miles Morales débarque enfin sur les consoles de Sony ! Plus de two ans après un très bon premier opus des aventures de 50’Homme-Araignée, Insomniac Games signe ici un épisode de transition certes plus courtroom et moins gourmand, mais de tout aussi belle qualité. Le tout avec à la clé des améliorations et une narration des plus réussies : Go Miles, get !
Annoncé en grande pompe en juin dernier, Spider-Man Miles Morales se veut être dans la continuité du premier opus de 2018. Pour rappel, après la fameuse histoire du Devil’sec Breath, la mort de vous-savez-qui et le fait que Miles Morales se soit fait piqué par une araignée radioactive, ce dernier est pris sous 50’aile de Peter Parker. Une dimension mentor-élève dont quelques bribes mind parvenaient au sein du DLC « La Ville qui ne dort jamais« . Bien que Miles soit présent dans ces précédentes aventures, c’était bien Peter qui était mis au premier plan.
Insomniac Games rectifie donc le tir dans un épisode centré sur le métis afro-latino ! Si le contenu global est moins riche de par sa nature de stand up-lonely (ce qu’était Uncharted Lost Legacy par rapport à Uncharted 4), Spider Man Miles Morales demeure un vrai jeu à part entière. Soigné, addition young man graphiquement, avec de nouvelles subtilités de gameplay et surtout une origin story vraiment réussie, on tient là une suite de belle qualité !
Un scénario réussi avec une portée émotionnelle
Nous retrouvons donc Miles en apprenti Spider-Man, 1 an après les évènements du précédent opus ! La ville de New York est sous la neige, la veille de Noël, et un important carry de prisonniers doit se faire sous la surveillance de Peter et son protégé. Les choses ne vont pas se dérouler comme il le faut, mais Miles se découvrira de nouveaux pouvoirs, et aura la lourde tâche de veiller sur la Grande Pomme pendant ii semaines (le temps que Peter parte en vacances avec MJ). Évidemment, notre jeune héros de 17 ans va faire face up à une forcefulness menaçant son quartier d’Harlem, tout en sec’interposant à un conflit impliquant le consortium militaro-industriel Roxxon et le groupuscule The Underground. A la tête de ce dernier se trouve Tinkerer, une mystérieuse figure cyber-terroriste en pleine croisade vengeresse personnelle.
Après 50’explosion du personnage dans la pop civilisation en 2011 dans Ultimate Spider-Man, et summation récemment dans le géniallissime Spider-Man into the Spider-Verse, 50’histoire du jeu ne devrait pas recéler d’énormes surprises. En effet, Miles devra faire ses preuves, considéré comme le rejeton bis de Spider-Man par les citoyens. Trouver son identité, vaincre ses peurs, sa relation avec le Prowler (son oncle Aaron Davis), faire le deuil de boy père, protéger ses proches (sa mère Rio Morales et son pote Ganke Lee apportent une vraie chaleur à 50’ensemble)…tout est présent! Mais Insomniac a très bien compris le personnage et get in ici à donner un scénario incarné, à la narration ultra soignée laissant la place à des personnages développés.
L’histoire prendra littéralement boy envol dans une dernière partie à la dimension émotionnelle surprenante. Mention spéciale au personnage de Tinkerer, sans doute le meilleur bad guy créé dans cet univers vidéoludique. Le casting song est également splendid : Troy Baker (Joel de The Last of Us) donne de l’épaisseur à un méchant très uni-dimensionnel, et Jasmin Savoy Brown (The Leftovers) apporte une sensibilité et une strength bienvenues à Phin Mason. Pour les amoureux de la VF, aucun souci, on est dans le haut du panier grâce au retour d’Eilias Changuel (Solo – A Star Wars Story) en Miles, et Donald Reignoux en Peter Parker.
It’second the most wonderful fourth dimension of the yr
La map de Spider-Man Miles Morales est la même qu’en 2018. Si quelques lieux (notamment Harlem) ont quelques nouveautés, la grande particularité du titre est de se dérouler à Noël. Une ambiance laissant home à un manteau blanc hivernal des plus plaisants à parcourir ! Plus joli qu’auparavant, c’est un vrai bonheur de virevolter dans les rues enneigées de New York. Pas de révolution visuelle, mais on tient là un des summation beaux titres actuels c’est évident, même sur PS4 et PS4 Pro !
L’avantage de la version PS5 est de proposer des temps de chargements littéralement inexistants, ainsi que des textures améliorées, notamment via un mode « Graphismes ». Ce dernier locke le jeu à xxx fps et brain abreuve notamment d’éclairages de toute beauté via la technologie du ray-tracing. De fifty’autre côté un manner « Performance » permettant un frame charge per unit de 60 fps constant, pour apprécier chaque mouvement au dynamisme certain. Difficile de dire quel style est le addition appréciable, mais inutile de dire c’est une jolie réussite dans chaque camp !
Un chiliad pouvoir implique de grandes responsabilités
Dans cette aventure, Miles devra maîtriser ses pouvoirs, et le joueur découvrira de nouvelles aptitudes. On ne va pas se mentir : dans fifty’ensemble 50’first-class gameplay du jeu de 2018 est transposé ici, sans fausse bank bill. C’est toujours un plaisir jouissif de virevolter entre les buildings, ou de filer des pains dans la margoulette des bad guys. Néanmoins, le pouvoir de bio-éléctricité amène des joutes musclées encore summation impressionnantes visuellement, tandis que le camouflage offre de chouettes subtilités dans des séquences d’infiltration mieux agencées qu’auparavant !
Là où Peter bénéficiait de pas mal de gadgets, Miles n’aura droit qu’à des mines télécommandées, des holo-drones et un puits gravitationnel. Une économie de moyens bienvenue dans un jeu à la difficulté très bien calibrée. L’arbre d’améliorations de compétences est peaufiné, les divers costumes (dont celui de New Generation !) offrent divers mods de vision ou de tenue et les gadgets bénéficient de iv niveaux de puissance… Enfin, si les combats de boss sont largement moindres, ils restent mémorables de par une mise en scène encore addition épique qu’en 2018. Que ce soit 50’intro contre le Rhino ou bien le fight terminal, préparez-vous à en prendre plein les yeux !
Un contenu annexe bien calibré
Spider-Man Miles Morales est i.five fois moins dense que son prédécesseur. Malgré tout, il faudra compter un peu moins de 10h pour 50’aventure principale, et environ 18h pour faire le jeu à 100% en manner normal. Une durée tout à fait convenable, d’autant qu’un New Game + et un nouveau way de difficulté viennent compléter le tableau. gold rayon des quêtes annexes on retrouve ce qui faisait le sel du premier opus, mais de manière mieux implémentée.
En effet, les crimes aléatoires sont toujours présents par quartiers, mais en mois moins répétitifs. Via une appli créée par Ganke (le pote de Miles) on a accès à tout moment aux activités passées sans devoir virevolter dans chaque district en attendant un déclenchement de script. Les collectibles sont bien de la partie (cartes postales, caisses d’équipement, samples de sons à trouver) avec de nouveaux costumes à la clé. Séances d’entrainements en VR, missions scénarisées, bases à démanteler, way photo… les ingrédients sont là et mieux dosés ! On aurait aimé en avoir un peu + quand même, mais pas de quoi gâcher le fête, d’autant qu’aucune lassitude ne se fait sentir.
You’re the Sunflower
A l’instar de Spider-Man New Generation, Marvel’s Spider-Man Miles Morales est avant tout une très belle réussite pour ce qui est d’introduire le personnage au sein d’un nouveau médium. Sans jamais vocaliser ses inspirations (on tient un joli hommage à Spider-Man Homecoming et Spider-Man 2), on tient là un titre caractérisant à merveille boy jeune héros. Une évolution qui porte ses fruits, autant que la BO de Joe Paesano (Marvel’second Daredevil) : mélangeant hip-hop et musiques orchestrale, c’est un vrai bonheur pour les esgourdes. Si vous n’êtes pas convaincu, écoutez donc New York’sec Only Spider-Man ou Won’t Give Up !
Très bien scénarisé, très joli visuellement, diablement bien mis en scène, addictif manette en main, inspiré musicalement…la seule faiblesse réside dans un contenu qu’on aurait aimé summation conséquent. Un très bel encas en attendant Marvel’sec Spider-Man two quoi qu’il en soit, qui n’a rien de honteux dans un contenu qu’on parcourt avec plaisir. Un très bon titre pour la Playstation four, et parfait pour débuter sur Playstation five !